Qui Nous Sommes

Le Séminaire diocésain missionnaire Redemptoris Mater Sainte Marie Madeleine a été érigé́ le premier avril 2005, au Cénacle à Jérusalem.
Le séminaire est installé au presbytère de la paroisse Notre Dame du Bon Voyage à La Seyne-sur-Mer.

NOTRE ÉVÊQUE

Monseigneur François Touvet

Né à Paris le 13 mai 1965, il est ordonné prêtre le 28 juin 1992.
Après avoir été successivement curé de Châtillon-sur-Seine et de Côteaux-de-Haute-Seine, aumônier diocésain du MEJ, doyen du Val-de-Seine, Curé de l'ensemble paroissial de Montigny-sur-Aube, vicaire épiscopal de Dijon pour la zone pastorale Nord, vicaire général de Dijon, curé de la cathédrale de Langres et doyen de Langres, vicaire épiscopal de Langres pour la zone pastorale sud, aumônier militaire, vicaire général de Langres, curé de Chaumont, il devient évêque de Châlons-en-Champagne en 2015.

En novembre 2023, est nommé évêque coadjuteur de Fréjus-Toulon par le pape François, aux côtés de Mgr Dominique Rey pour exercer les missions confiées par le Saint Père dans les domaines suivants : gestion du clergé, administration, formation des séminaristes et des prêtres, accompagnement des communautés.

Il est évêque du diocèse de Fréjus-Toulon depuis le 7 janvier 2025.

DEVISE

Misericordia et veritas, « amour et vérité se rencontrent » (Psaume 84,11)

ARMES

Dès mon enfance, j’ai été très marqué par le scoutisme où j’ai appris la fidélité au Christ, à l’Église, à la parole donnée, le sens du service et le don de soi.
Le fond noir et blanc de l’écu rappelle les couleurs du drapeau scout sur lequel j’ai fait ma Promesse en 1977 et pris mon Départ Routier en 1987 à Citeaux. Ces couleurs sont aussi celles du 61ème Régiment d’Artillerie dont je fus l’aumônier de 2011 à 2015.
L’ancre exprime mon attachement à la marine, tant par tradition familiale que par expérience personnelle. Comme prêtre en paroisse, j’ai aussi dirigé sur les rivières et canaux de France, pendant 17 ans, des camps de jeunes à bord du « Gaudium et Sol » (Joie et Soleil).
Les fleurs de lys évoquent en premier lieu la Vierge Marie Reine à qui cet emblème est souvent associé. Ce sont aussi les fleurs de lys des villes de Dijon, Langres et Châlons-en-Champagne.
Comme évêque, je suis envoyé pour témoigner de la foi que j’ai reçue au baptême. L’imbrication des deux couleurs nous rappelle l’incarnation de Dieu en Christ-Jésus, vrai Dieu et vrai homme. Le fond noir et blanc évoque le passage des ténèbres à la lumière par la mort et la résurrection du Christ Rédempteur.
L’ancre symbolise l’espérance (Hb 6,19) dont l’évêque doit être « prophète, témoin et serviteur » selon les mots du saint pape Jean-Paul II.
La fleur de lys blanche est celle de Marie Immaculée qui nous guide vers le Christ. La fleur de lys noire me rappelle à l’humilité : je suis une « poterie sans valeur » (2 Co 4,7) chargée de donner le trésor de l’Évangile et de guider mes frères et sœurs vers la sainteté.

+ François Touvet